Stuart Calvin est l’auteur de The Hereafter (2011), une pièce étonnante, qui n’est pas sans rappeler celle d’Olafur Eliasson ou celles de Per Barclay, dont je parlerai bientôt. Ici, on est pris de vertige devant tant d’opacité. Cela cache quelque chose de profond et d’infini. D’ailleurs le logo de l’artiste son sur site est un 8 couché. Vous trouverez sur son site un texte de l’artiste qui présente sa démarche et dont voici un extrait :
« I look for inspiration to empty spaces, dark corners, unseen forces, the moments around death and passage to the great beyond. I try to establish associations and reasons for belief systems and use my work to stimulate enquiry into why we draw comfort and guidance from ideas with no rational substance. »
Je reviendrai bientôt sur d’autres pièces de cet artiste que j’aime décidément beaucoup.
Mais… Ce 8 couché est le signe de l’infini!!
Un peu d’espièglerie ?!
😉
Il me semble que j’en ai déjà vu et que c’est tres troublant en effet.
Au départ j’ai pensé un grand miroir, et en regardant mieux je me suis dit et si c’était un bassin (un tout petit) basin d’eau? Et j’ai envie d’aller voir ce qu’il y a derriere les rideaux? Une vue sur quoi?